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Origine : http://www.vacarme.org/article1367.html
Foucault, tout au long de sa vie, n’a cessé de tracer
sur la carte du monde deux genres d’itinéraires : celui
de ses déplacements réels, celui de ses engagements
internationaux. Entre les deux se dessine un même projet :
refuser que le malheur des hommes soit « le reste muet de
la politique », et construire une solidarité entre
les gouvernés, une mobilisation mondiale dont les États
ne soient plus les acteurs exclusifs.
Pierre Lascoumes a récemment publié : Le Capitalisme
clandestin. L’illusoire régulation des places offshore
(avec Thierry Godefroy), La Découverte, 2004 ; Gouverner
et enfermer. La prison, un modèle indépassable ? (dir.,
avec Philippe Artières), Presses de Sciences Po, 2004.
Dans la première partie de sa vie, Michel Foucault se rêvait
peut-être apatride, menant des investigations intellectuelles
sans frontières. Ces découvertes, ces expériences
sans passeport n’ont rien d’une errance, mais relèvent
plutôt d’un travail de déprise permanente de
lui-même et de notre culture. De retour en France en 1968,
il n’en est pas moins resté très attentif à
l’ailleurs, non par goût anecdotique de l’exotisme,
mais par besoin d’être en relation avec les grands événements
politiques mondiaux et de les intégrer comme des épreuves
critiques. L’écho international de ses travaux est
sans doute moins un effet de mode en faveur de la pensée
française que la rétribution de son attention aux
causes universelles dans lesquelles il s’est régulièrement
engagé.
Entre 1955 et 1968, il passe ainsi plus de huit années hors
de France, occupant des fonctions de lecteur de français
ou d’attaché culturel successivement à Uppsala,
à Varsovie, à Hambourg et à Tunis, et songe
un temps diriger l’Institut français de Tokyo. C’est
dans son premier poste en Suède qu’il rédige
sa thèse Folie et déraison à l’âge
classique, et il a semble-t-il envisagé de la soutenir dans
ce pays qui a une tradition en histoire des sciences. Foucault s’imaginait
bien en passeur diffusant à des publics étrangers
la littérature et la philosophie françaises, tout
en accumulant pour lui-même une expérience de liberté
et de découverte politique et culturelle. Il retrouvera plus
tard ce positionnement à l’égard des États-Unis
et du Japon. Mais c’est surtout à l’occasion
d’engagements dans des causes étrangères et
en participant à de nombreux combats que se manifestera sa
capacité d’implication dans notre actualité
marquée de drames, de révoltes contre l’oppression,
et de luttes multiformes pour les libertés. Cette forme d’engagement
marque plus particulièrement les dix dernières années
de la vie du philosophe-citoyen. Deux dimensions complémentaires
organisent ses prises de position : dire l’intolérable,
et développer des actions non-gouvernementales.
Percevoir et dénoncer l’intolérable
En août 1977, Foucault donne un entretien au Japon au sujet
de la situation dramatique d’environ 80 000 boat people, moitié
vietnamiens et moitié cambodgiens, qui dérivent depuis
des mois, sont refoulés de terre en terre, et que «
les États abandonnent aux portes de la mort ». Ce texte
présente le problème des réfugiés comme
un enjeu mondial en plein développement, car soulevant des
problèmes spécifiques de solidarité que les
démocraties occidentales et les organismes internationaux
qu’elles contrôlent sont peu préparés
à traiter [1]. Il présente de façon lucide
les trois facteurs qui lui paraissent contribuer à ce phénomène
: l’augmentation des régimes dictatoriaux ; les séquelles
des politiques de décolonisation qui ont laissé des
découpages territoriaux artificiels et des sources de tensions
ethniques et religieuses majeures ; enfin la tendance croissante
des pays industrialisés, qui, après avoir importé
de la main d’oeuvre étrangère, veulent désormais
renvoyer leurs émigrés. Quelques années plus
tard, il rédige un texte-manifeste, « Face aux gouvernements,
les droits de l’homme » [2], qui élargit la réflexion.
Il est lu à Genève en juin 1981 à l’occasion
d’une conférence de presse organisée par un
ensemble d’ONG pour annoncer la création d’un
Comité international contre la piraterie. Ce document est
significatif du positionnement de Foucault et de beaucoup de militants
engagés alors dans des causes internationales. Cette initiative
trouve son origine chez « des hommes privés qui n’ont
d’autres titres à parler, et à parler ensemble,
qu’une certaine difficulté commune à supporter
ce qui se passe ». On retrouve ici la même attitude
politique et morale que celle qui l’avait conduit à
se mobiliser en 1971 sur la situation des prisons. « Je perçois
l’intolérable », déclare-t-il en présentant
le Groupe d’Information sur les Prisons comme le relais public
de la dénonciation des conditions de détention politique
et de droit commun. Le mouvement est parti de l’intérieur
des établissements où des politiques (gauchistes et
maoïstes incarcérés) ont commencé une
grève de la faim, et il s’agit « littéralement
de donner la parole aux détenus ». C’est-à-dire
rompre avec le silence, casser les connivences hypocrites qui occultent
les violences, donner à entendre les révoltes afin
qu’elles soient si possible mises en relation avec d’autres.
C’est cette même forme d’action protestataire
qui est reprise au niveau international. Le manifeste énonce
: « C’est un devoir de cette citoyenneté internationale
de toujours faire valoir aux yeux et aux oreilles des gouvernements
les malheurs dont il n’est pas vrai qu’ils ne sont pas
responsables. Le malheur des hommes ne doit jamais être un
reste muet de la politique ».
Cette citoyenneté internationale d’abord formulée
par les pacifistes est ici reprise dans un sens plus protestataire.
Selon Foucault, cette appartenance à une communauté
politique sans frontières « a ses droits et ses devoirs
», et elle « engage à s’élever contre
tout abus de pouvoir, quel qu’en soit l’auteur, quelles
qu’en soient les victimes. [...] [Le malheur des hommes] fonde
un droit absolu à s’élever et à s’adresser
à ceux qui détiennent le pouvoir ». Dans un
texte antérieur (1977), il invoquait un « droit des
gouvernés » : « Ce droit est plus précis,
plus historiquement déterminé que les droits de l’homme
: il est plus large que celui des administrés et des citoyens
; on n’en a guère formulé la théorie.
Notre histoire récente en a fait une réalité
encore fragile mais précieuse pour un avenir qui porte partout
la menace d’un État où les fonctions de gouvernement
seraient hypertrophiées jusqu’à la gestion quotidienne
des individus » [3]. Ce droit des gouvernés fonde un
droit à l’interpellation qui s’accomplit à
deux niveaux : d’une part, à l’occasion de causes
individuelles exemplaires ; d’autre part, dans la dénonciation
de pratiques dictatoriales plus générales.
Les causes individuelles exemplaires sont autant d’occasions
de mettre en visibilité et de stigmatiser le droit et la
justice d’exception. En septembre 1975, onze militants sont
condamnés au garrot en Espagne. Foucault rédige un
texte de protestation qui est signé par L. Aragon, F. Jacob,
A. Malraux, P. Mendès France et J.-P. Sartre. Sept mercenaires
partent à Madrid pour faire entendre dans le lieu même
du franquisme l’indignation que suscitent les pratiques totalitaires
de ce régime. R. Debray, C. Mauriac, Y. Montand sont du voyage
avec Foucault. La conférence de presse qui est organisée
suscite une intervention policière musclée. Au bout
de quelques heures, ils sont reconduits manu militari à l’aéroport.
Les protestations et les appels se poursuivent depuis la France,
en vain. Mais l’indifférence était impossible,
l’intolérable devait être désigné
et les résistants espagnols au régime devaient être
soutenus, ne serait-ce que symboliquement. En octobre 1977, Foucault
s’engage avec J.-P. Faye et l’anti-psychiatre anglais
D. Cooper dans le mouvement amorcé en URSS par V. Fainberg
en faveur de la libération de V. Borissov de l’hôpital
psychiatrique spécial de Leningrad où il a été
incarcéré : « ce qui se passe en Union soviétique,
ce n’est pas l’accouplement monstrueux d’une fonction
médicale et d’une fonction policière, qui n’auraient
rien à voir l’une avec l’autre. Mais c’est
simplement l’intensification, la solidification d’une
parenté en réseau, qui n’avait pas cessé
de fonctionner » [4].
En juillet 1977, Klaus Croissant, l’un des avocats de la
Fraction Armée Rouge, demande l’asile politique en
France, où il s’est réfugié par crainte
d’être poursuivi en Allemagne pour avoir outrepassé
les droits de la défense en fournissant des aides matérielles
à ses clients. Arrêté, il est incarcéré
à la prison de la Santé en attendant l’expulsion
que la justice française autorise le 24 octobre ; en tant
que complice de « l’apocalypse » terroriste, dira
le procureur. Foucault est parmi les premiers à défendre
l’avocat, à dénoncer le simulacre du procès
en France où la salle est bourrée de policiers et
où le président interdit à Croissant de présenter
lui-même sa défense. Avec vingt-cinq personnes, Foucault
tente symboliquement d’empêcher, à la sortie
de la Santé, son expulsion [5], et il s’indigne de
la mollesse des soutiens que la gauche accorde précautionneusement
à cette cause [6].
À l’occasion de ses prises de position contre les
atteintes aux droits fondamentaux des personnes, Foucault élargit
régulièrement son propos à la dénonciation
plus générale des pratiques dictatoriales. Ainsi,
faisant le récit de l’expulsion qui achève le
bref voyage à Madrid dénonçant les condamnations
prononcées par le régime franquiste, il effectue un
parallèle avec la violence du régime des colonels
grecs : « [Y. Montand] est arrivé en haut des marches
de l’hôtel, des policiers armés étaient
disposés de part et d’autre de l’escalier ; en
bas la police avait fait le vide et les cars se trouvaient beaucoup
plus loin. Derrière, des centaines de personnes regardaient
la scène. C’était un peu la répétition
de la scène de Z où le député de gauche
Lambrikis est frappé à coups de matraques. Montand
très digne, la tête un peu en arrière, est descendu
très lentement. C’est là que nous avons ressenti
la présence du fascisme. Cette façon qu’ont
les gens de regarder sans voir, comme s’ils avaient vu cette
scène des centaines de fois. [...] C’est une forme
supérieure de fascisme à la fois très fine
et brutale, que nous avons vue à l’oeuvre. Ce fascisme
avec sa pyramide d’ordre et de contre-ordre, cette mécanique...
cette peur pour entretenir la peur » [7]. En 1976, il participe
à la dénonciation des camps de l’Union soviétique,
pas seulement ceux de l’époque stalinienne mais ceux
qui sont encore en fonction, et à propos desquels les informations
et les documents commencent à sortir [8]. L’année
suivante, et peu de temps après l’expulsion de K. Croissant,
Foucault effectue un séjour à Berlin. À son
retour il livre un témoignage accablant sur l’oppression
policière qui règne dans les deux Allemagnes : aussi
bien « l’effrayante impression de pouvoir être
un danger pour n’importe qui » qu’il a éprouvée
face à la suspicion maniaque des policiers de l’Est,
que la façon dont les intellectuels sont traités en
tant que « sale espèce » à l’Ouest
sur la base de dénonciations anonymes [9]. Cela ne l’empêchera
pas de revenir en Allemagne peu après pour protester contre
les interdictions professionnelles et pour soutenir à Hanovre
un universitaire (Peter Brückner), suspect de sympathie avec
la cause terroriste. Dernier exemple, en 1981, à l’occasion
du soutien très actif que Foucault porte à Solidarnosc,
après le coup de force militaire, il déclare de retour
d’une mission humanitaire sur place : « Le problème
permanent de la Pologne pose le problème de l’Europe
du bloc soviétique, du partage de l’Europe. Or hormis
de brèves périodes - celles des invasions et des coups
d’État - on n’en parle pas ».
Développer des actions non-gouvernementales
« Qui donc nous a commis ? Personne. Et c’est cela
justement qui fait notre droit. » Foucault prône non
seulement le droit de la société civile à la
protestation, mais aussi son droit à l’auto-organisation
et à l’action. Il prône des initiatives non-institutionnelles,
hors de tout cadre pré-construit et menées par «
des hommes privés qui n’ont d’autre titre à
parler [...] qu’une certaine difficulté à supporter
ce qui se passe » [10]. Il prend pour modèle les initiatives
des ONG humanitaires qui, depuis le début des années
1970, revendiquent leur droit d’accès à toutes
les scènes de conflit. Il soutient ainsi en 1979 l’action
menée par Médecins du Monde et B. Kouchner pour secourir
les boat people en mer de Chine avec le navire hôpital Ile-de-Lumière.
Amnesty International et Terre des hommes constituent aussi des
modèles auxquels il se réfère. Cette forme
de solidarité internationale active doit se démarquer
d’un humanitarisme émotionnel qui cantonne les populations
dans une protestation affective : « C’est vrai, les
bons gouvernements aiment la sainte indignation des gouvernés,
pourvu qu’elle reste lyrique. » Il s’agit de refuser
le partage des tâches selon lequel il appartient « aux
individus de s’indigner et de parler », alors qu’il
reviendrait « aux gouvernements de réfléchir
et d’agir ». « L’expérience montre
qu’on peut et qu’on doit refuser le rôle théâtral
de la pure et simple indignation qu’on nous propose. »
Le projet dont Foucault se veut le défenseur est aussi une
intrusion dans l’espace d’action capté jusque-là
par les États : « La volonté des individus doit
s’inscrire dans une réalité dont les gouvernements
ont voulu se réserver le monopole, c’est ce monopole
qu’il faut arracher peu à peu et chaque jour. »
Cet appel aux mobilisations multiformes de la société
a pour corollaire une méfiance constante à l’égard
des actions des États chroniquement marquées par le
double langage et l’hypocrisie de refus de la realpolitik.
D’où ses réticences face à la gauche
institutionnelle, qu’il perçoit, à juste titre,
enkystée dans une « grille politique traditionnelle
», alors que les mouvements sociaux ne cessent « de
faire apparaître des questions qui n’existaient pas
sur la scène électorale » [11]. Régulièrement,
il sera conduit à affronter directement les autorités
politiques en place, de droite (joutes avec les ministres de la
Justice R. Pleven en 1971 à propos des prisons, ou en 1976
avec A. Peyrefitte à propos de Croissant [12]), comme de
gauche. Les événements de 1981 en Pologne en sont
un exemple significatif. Foucault, qui n’avait pas particulièrement
soutenu l’arrivée de Mitterrand [13], se trouve en
opposition directe avec l’Union de la gauche lorsqu’a
lieu en décembre 1981 le coup de force du général
Jaruzelski, qui s’en prend directement au syndicat Solidarnosc
et amorce une dure campagne de répression contre les mouvements
d’opposition. Le ministre des Affaires étrangères
Cl. Cheysson déclare qu’il s’agit d’une
« affaire purement intérieure à la Pologne »,
et pour le parti communiste français M. Gremetz justifie
la réaction militaire par un soi-disant « danger de
guerre civile ». La rupture est dès lors consommée
entre la gauche institutionnelle et une partie des intellectuels
français. P. Bourdieu et Foucault prennent l’initiative
d’un texte de protestation intitulé « Les rendez-vous
manqués ». Il s’agit de rappeler la passivité
complice avec laquelle d’autres gouvernements de gauche français
ont fait l’autruche, en 1936 face au putsch militaire espagnol
et en 1956 face à l’invasion de la Hongrie. Face à
cette mémoire honteuse, la pétition demande que le
gouvernement de P. Mauroy renonce aux facilités de la realpolitik
et se positionne en fonction des « obligations de la morale
internationale » : « Il ne faut pas que le gouvernement
français, comme Moscou et Washington, fasse croire que l’instauration
d’une dictature militaire en Pologne est une affaire intérieure
qui laissera aux Polonais la faculté de décider eux-mêmes
de leur destin. C’est une affirmation immorale et mensongère
» [14]. La question du donner à entendre est à
nouveau au coeur de son engagement, et seuls des mouvements issus
de la société civile peuvent accomplir ce que les
diverses raisons d’État interdisent. Dans le mouvement
de soutien à la Pologne qui se met en place, il plaide pour
assurer en priorité aux syndicalistes polonais des moyens
d’information : « Il ne faut pas que la voix de Solidarnosc
soit étouffée. » Il propose la création
d’une agence de presse et l’envoi de missions de juristes
et de médecins dans le cadre des opérations Varsovivre
menées par Médecins du Monde [15]. Lui-même
participera à une des dernières missions dans ce pays
en septembre 1982 où la livraison de médicaments couvre
celle de matériel d’impression.
Dire l’intolérable en développant des actions
non-gouvernementales, dynamiser les réactions de la société
civile pour construire des protestations hors des schémas
politiques établis, le programme militant que Michel Foucault
a balisé dès le milieu des années soixante-dix
et auquel il est resté fidèle trace un horizon d’action
politique d’une actualité inaltérée.
Notes
[1] « Le problème des réfugiés est un
présage de la grande migration du XXIème siècle
», n°271, Dits et écrits, III, p. 798 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault206.html
[2] Publié dans Libération le 30 juin 1984, et n°355,
Dits et écrits, IV, p. 707.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault162.html
[3] « Va-t-on extrader Klaus Croissant ? », Le Nouvel
Observateur, 14 novembre 1977 et n°210, Dits et écrits,
III, p. 361 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault208.html
[4] « Enfermement, psychiatrie, prison », Change, octobre
1977, et n°209, Dits et écrits, III, p. 332.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault207.html
[5] « Désormais, la sécurité est au-dessus
des lois », Le Matin, 18 novembre 1977 et n°211, Dits
et écrits, III, p. 366 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault205.html
[6] « La sécurité et l’État »,
entretien avec R. Lefort, Tribune socialiste, 24 novembre 1977 et
n° 213, Dits et écrits, III, p. 383 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault203.html
[7] « Aller à Madrid », Libération, 24
septembre 1975, et n°158, Dits et écrits, II, p. 760
sq. et « Lettre à quelques leaders de la gauche »,
Le Nouvel Observateur, 28 novembre 1977 et n°214, Dits et écrits,
III, p. 388 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault201.html
[8] « Crimes et châtiments en URSS et ailleurs... »,
entretien avec K.S. Karol, Le Nouvel Observateur, 26 janvier 1976,
et n°172, Dits et écrits, III, p.63 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault217.html
[9] « Nous nous sentions comme une sale espèce »,
Der Spiegel, 19 décembre 1977 et n° 217, Dits et écrits,
III, p. 415 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault342.html
[10] Voir note 2.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault162.html
[11] « La grille politique traditionnelle », Politique
hebdo, 6 mars 1978, et n°227, Dits et écrits, III, p.
506 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault210.html
[12] « Alain Peyrefitte s’explique ... et Michel Foucault
lui répond », Le Nouvel Observateur, 23 janvier 1978,
et n°226, Dits et écrits, III, p. 505 sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault215.html
[13] « Je me fais une règle de ne pas prendre position
quant aux élections », art. cit. note 2.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault162.html
[14] Libération, 15 décembre 1981 et « Il n’y
a pas de neutralité possible », Libération,
9 octobre 1982, et n°319, Dits et écrits, IV, p. 338
sq.
http://1libertaire.free.fr/MFoucault179.html
[15] D. Eribon, Michel Foucault, Flammarion, 1991, p. 321-323 et
n° 320, 321 et 334, Dits et écrits, T. IV, p. 340 sq.
Texte n°320 «En abandonnant les Polonais, nous renonçons à une part de nous-mêmes» Michel Foucault
Dits Ecrits tome IV texte n°320 http://1libertaire.free.fr/MFoucault180.html
Texte n°321 Michel Foucault"L'expérience morale et sociale des Polonais ne peut plus être effacée" Dits Ecrits tome IV texte n° 321 http://1libertaire.free.fr/MFoucault181.html
Texte n°334 La Pologne, et après ?
Michel Foucault
entretien avec E. Maire
Dits Ecrits tome IV texte n°334 http://1libertaire.free.fr/MFoucault273.html
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