Lorsque celui qui chemine dans lobscurité chante, il nie
son anxiété, mais il nen voit pas pour autant plus
clair.[i] (Freud) Pour le névrosé, le savoir est la jouissance
du sujet supposé savoir, cest bien en quoi le névrosé
est incapable de sublimation.[ii] (Lacan)
Le sujet invente ou nest pas.[iii]
Lorsque les gens travaillent parce quil faut travailler, ne travaillent
pas parce quil ny a pas demplois sur le marché,
prennent des vacances parce que cest le temps des vacance ; lorsquun
homme et une femme se retrouvent ensemble pour ne pas être seuls,
baisent parce que « la sexualité cest important pour
que le couple fonctionne », ont un enfant parce que... parce que
la femme est enceinte ; lorsquune masse de personnes est rivée
devant leur écran de télévision parce quelle
na rien dautre à faire ; lorsque parents et professeurs
ne soutiennent plus le désir de savoir auprès des enfants
; lorsque le prozac, le rivotril et autres remèdes face à
la douleur dexister deviennent pour un nombre sans cesse croissant
de nos contemporains leur pain quotidien ; bref, lorsque lon ne
cesse dêtre témoin de morosité subjective, dennui
et de désabusement ; quand lignorance et la lâcheté
sont si répandues, il nest peut-être pas déplacé
de parler de crise humaine.
À lheure de la communication et des besoins que la technologie
cherche à combler plus facilement et rapidement, Autre Chose semble
trop souvent passer sous silence et faire retour insidieusement, voire
violemment.
Au-delà des causes particulières propres à chaque
sujet, les différents exemples cités plus haut ont ceci
de commun quils dénotent une certaine rupture sur le plan
de lactivité de la pensée. Jentends ici par
activité de la pensée une pensée qui est inventive,
qui met au travail le sujet, qui produit quelque chose de neuf ; et non
une pensée qui relève du rituel, du compulsionnel ou de
lacting out.
Cette activité de penser relève-t-elle de la sublimation
? * * *
Ce que lon nomme lêtre humain est fondamentalement un
être de langage, un être parlant, un parlêtre (Lacan).
Tout son « être » ne se réduit pas au langage,
mais se réfère à sa structure. Ce fait est capital
si lon veut arriver à comprendre ce qui fait crise et malaise
chez lui, que ce soit sur le plan individuel ou collectif.
La rencontre du langage humanise. Celle-ci se traduit par lirruption
du signifiant ; elle a principalement deux conséquences : la ségrégation
et la pulsion.
La ségrégation est inhérente à la structure
du signifiant : un signifiant se définit par le fait quil
soppose (et donc sexclut) à tous les autres signifiants.
Lorsque je parle, je ne choisis quun seul mot à la fois,
et de ce fait, jexclus tous les autres mots possibles. Le problème
de la ségrégation commence lorsque la responsabilité
de cette exclusion est portée sur lautre mon semblable,
ou encore celui qui est différent de moi plutôt
que sur la structure à laquelle je est sujet.
Autre conséquence de la rencontre du signifiant : la pulsion,
soit lirruption du sexuel. La rencontre du discours de lAutre
rend le sujet effet dune chaîne signifiante. Toutefois,
le signifiant ne peut représenter tout le champ du réel
du sujet ; ou, pour être plus précis, cest par la
structure même du signifiant, par son impossible à tout
signifier, que se pose un au-delà à son articulation :
la castration. Ce lieu, lau-delà de la chaîne signifiante,
amène Freud à parler dun au-delà du principe
du plaisir et Lacan à introduire le champ de la jouissance.
La ségrégation et la pulsion, donc, divisent le sujet.
Lêtre du sujet est séparé de ce qui le constitue
: lexclusion de la jouissance propre à lordre du
langage. Néanmoins, le sujet ne tente pas moins de récupérer
cette jouissance. Cest cette conséquence, principalement,
que la psychanalyse traite. La modalité de « récupération
» de la jouissance représente en quelque sorte la particularité
de chaque sujet de la morbidité à la sublimation.
La sublimation serait-elle un effet que lon pourrait logiquement
attendre dune cure analytique ?
Si lon considère la sublimation comme une fin, il va de
soi que lanalyse ne mène pas nécessairement lanalysant
à la sublimation. Lanalyse ne produit pas des génies,
et à linverse, un créateur ne perd pas son inspiration
à faire une analyse. Définir la sublimation comme une
fin relève de lidéalisation. Aborder la sublimation
par le biais de la production duvres dévalue limportance
que revêt ce concept laissons les universitaires samuser
à faire de la psychanalyse appliquée.
Si la sublimation est un concept analytique, cest quelle
répond à une nécessité au niveau de la lecture
de ce qui est en jeu dans lexpérience analytique. Cest
pourquoi je préfère parler dinvention plutôt
que de création, portant ainsi laccent sur le processus,
sur le moyen. Jaborde donc la sublimation comme une réponse
du sujet à son entrée dans lordre du signifiant,
une réponse mobilisant son activité de penser et, par
le fait même, suscitant lacte.
Questions : quest-ce qui voue un sujet à léchec
de la sublimation ? En quoi la cure analytique oriente-t-elle (si tel
est le cas) lanalysant vers la sublimation ?
Rencontrer le langage, soit perdre la jouissance que le langage lui-même,
dans laprès-coup, suppose, revient à rencontrer
la demande de lAutre (de la mère en premier lieu, généralement).
De là, une place est assignée au sujet par lAutre.
Mais en répondant à la demande de lAutre, soit en
sidentifiant à son manque (phallus imaginaire), le sujet
saliène. Autrement dit, par cette identification le sujet
perd sa singularité singularité qui na pu
advenir quen passant par cette identification !
Il ne sagit pas ici de revenir sur la structure dipienne,
mais de souligner une séquence :
1) Le sujet rencontre de la demande de lAutre, soit lhabit
signifiant de son désir.
2) La rencontre du désir de lAutre, comme nous le rappelle
Lacan, se traduit pour le sujet par langoisse.
3) Cette angoisse est apaisée par lintervention de la fonction
paternelle. 4) Mais comme la signification phallique ne peut pas tout
signifier, comme le père ne peut pas ne pas être défaillant
en vertu de la structure du signifiant, ce que le père ne pourra
métaphoriser pour le sujet, le symptôme le fera.[iv] Le
symptôme fait ainsi suppléance là où la fonction
paternelle défaille. Le symptôme, en quelque sorte, sait
ce quil faut pour suppléer à cette fonction (cf.
le petit Hans). Seulement, ce savoir et la raison de cette suppléance
échappent au sujet. Cette ignorance, très souvent, parasite
la pensée du sujet et inhibe son corps, ce qui se traduit par
une morosité subjective (ennui, affect dépressif...),
cest-à-dire par le fait dêtre affecté
dune jouissance sans savoir travail silencieux de la pulsion
de mort, disait Freud.
Cest ici que nous retrouvons la sublimation : la sublimation comme
mise au travail du savoir que métaphorise le symptôme,
soit un travail de « Bien-dire » doù
son lien étroit avec léthique.
Attardons-nous davantage sur les liens quentretien-nent sublimation
et symptôme.
Tout dabord, sublimation et symptôme (comme effet du refoulement)
sont, nous dit Freud, des avatars de la pulsion.[v] Ces destins divergent
en ce qui concerne la façon dont chacun réalise le but
de la pulsion : la satisfaction. Freud est vite conduit à considérer
cette satisfaction comme mythique, elle est avant tout présente
sous son versant dimpossible.[vi] Mais bien quimpossible,
la pulsion ne la vise pas moins.
Le symptôme, par le biais du refoulement, sexualise la satisfaction
(la jouissance phallique comme jouissance du semblant, jouissance dun
objet qui nest pas). Là où la substitution signifiante
savère impuissante à cerner le réel, le symptôme
(retour du refoulé) acquiert une signification phallique. Le
symptôme vient faire bouchon phallique[vii] ; ce qui fait de lui
le plus fidèle partenaire du sujet, lui évitant ainsi
la rencontre de la castration, même si le prix à payer
peut lui être très élevé en souffrance.
De son côté la sublimation, nous dit Freud, atteint la
satisfaction sans passer par le refoulement. Elle latteint par
le biais de « linhibition quant au but ». Freud ajoute
: cette atteinte a pour effet de « désexualiser »
la pulsion. Que signifie cette dé- sexualisation et ce changement
du but ?
Peut-on traduire cette désexualisation par une séparation
du sujet face à son identification imaginaire au phallus, par
un refus du leurre du symptôme (prendre la satisfaction substitutive
pour la satisfaction recherchée)?
Chose certaine, la désexualisation ne veut pas dire que la sublimation
ne soit pas concernée par le sexuel. Elle indique plutôt
une réponse du sujet face à limpossible du rapport
sexuel. Plus encore, elle en démontre limpossible
ce dont le sujet tire satisfaction.
Voilà la distinction majeure que lon peut dégager
entre la sublimation et le symptôme. Alors que le symptôme
métaphorise limpossible de la satisfaction, et par conséquent
le voile en le « significan-tisant » phalliquement, la sublimation
démontre cet impossible en appuyant son activité de penser
sur ce lieu hors-signifiant (doù labsence de pensée
au moment de lacte). La sublimation pousse ainsi le sujet à
répondre de lui-même[viii] au réel du manque dans
lAutre ; pas de sublimation sans acte.
Nous comprenons mieux pourquoi il y a changement de but dans la sublimation.
Le but ne se localise pas au niveau de latteinte de la satisfaction,
mais au lieu du parcours quemprunte le travail de la pulsion :
« la satisfaction ne se livre quau montage de la pulsion
» [ix]. Pour éclaircir davantage ce problème, Lacan
a recourt à des notions de topologie des plus simples. Ses considérations
vont lamener à renverser le rapport entre pulsion et sublimation.
Comme le rappelle Freud, la pulsion sappuie sur le corps, plus
exactement sur certaines zones du corps, celles qui ont été
investies par les signifiants de la demande (loralité :
la demande à lAutre ; lanalité : la demande
de lAutre...). Nous revenons à lirruption du signifiant.
Celle-ci troue le corps et creuse un vide irréductible. Par exemple
: la faim, sous laction de larticulation de la demande (pulsion),
se détache de lordre du besoin. La faim daliments
(objet oral) se transforme vite en faim dautre chose : faim damour.
La pulsion pose un au-delà à la demande qui savère
impossible à combler. Dit en dautres termes, lirruption
du signifiant creuse le corps du sujet, lévide de sa jouissance.
Cet espace vide ce qui est creusé par le signifiant
Lacan lappelle dans son séminaire sur léthique
« la Chose » (das Ding, terme auquel se réfère
Freud dans lEsquisse) : ce qui fonde et maintient la pulsion,
la Chose autour de laquelle elle tourne, vide qui est à la fois
intime et étranger au sujet[x]. Das Ding est cet espace mental
qui se doit dêtre maintenu vide telle est la condition
nécessaire au procès de la sublimation, mais aussi, de
façon plus générale, de toute activité pulsionnelle.
Ce que nous trouvons dans la loi de linceste se situe comme tel
au niveau du rapport inconscient avec das Ding, la Chose. Le désir
pour la mère ne saurait être satisfait parce quil
est la fin, le terme, labolition de tout le monde de la demande,
qui est celui qui structure le plus profondément linconscient
de lhomme.[xi] Das Ding nest pas la mère mais lespace
vide « le centre du développement psychique »[xii]
qui se constitue par la rencontre de la demande maternelle et
qui ne peut être satisfaite en raison de la présence de
la fonction paternelle.
Ainsi présenté, le statut de la pulsion se modifie. Toute
pulsion est inhibée quant au but que serait la jouissance, celle
quil ne faut pas car elle abolirait le champ du désir,
lessence de lHomme, comme le disait Spinoza. La sublimation,
qui apporte au Trieb une satisfaction différente de son but
toujours défini comme son but naturel est précisément
ce qui révèle la nature propre du Trieb en tant quil
nest pas purement linstinct, mais quil a rapport avec
das Ding comme tel, avec la Chose en tant quelle est distincte
de lobjet.[xiii]
Le renversement quopère Lacan est de définir la
structure de la pulsion par la sublimation.
Le propre de la pulsion est de faire le tour de limpossible que
Lacan nomme Das Ding. On peut donc définir la sublimation comme
la démonstration de la structure de la pulsion, démonstration
procédant dune mise au savoir[xiv] ce vers quoi
soriente logiquement la cure lorsquelle est éthiquement
menée, cest-à-dire lorsquelle interroge lobjet
cause du désir de lanalysant.
Naturellement, toute dérive pulsionnelle ne se solde pas en sublimation.
Toute dérive pulsionnelle se solde par un échec : limpossibilité
de la pulsion à être satisfaite par le signifiant. Cest
de cette impossibilité que se réitère le mouvement
de la pulsion.
Cest sur le plan du traitement de cette insatisfaction que le
destin de la pulsion diverge. Ou bien le lieu autour duquel gravite
le circuit pulsionnel est voilé et occulté, par le biais
de symptômes ou de certaines positions identificatoires, par exemple
; ou bien un savoir est élaboré par le sujet de cet impossible.
Élaborer un savoir de cet impossible relève dun
travail de lecture, la lettre à lire étant ce qui borde
le trou autour duquel tourne litération pulsionnelle :
« La lettre nest-elle pas le littéral à se
fonder dans le littoral ? [...] La lettre nest-elle pas proprement
le littoral, le bord du trou dans le savoir que la psychanalyse désigne
justement quand elle aborde le lettre ? »[xv] Faire lecture de
la lettre qui fait littoral entre la jouissance et le savoir, relèverait-il,
pour le sujet-lecteur, de la sublimation ; lecture qui serait rendue
possible, dans la cure, par la ponctuation (lacte analytique comme
coupure) ?
Ainsi, contrairement à une croyance populaire, sublimer ne veut
pas dire travailler dans un laboratoire ou de créer une uvre
dart plutôt que de baiser ; la mise en acte de la sexualité
auprès dun partenaire, ou toutes autres activités
pulsionnelles, peut être une sublimation en tant quelle
nocculte pas le rapport du sujet à la castration.
La sublimation révèle ainsi le réel de la structure,
elle mi-dit la vérité du non-rapport sexuel en en démontrant
son aporie. Elle nest pas, jy insiste, une fin en soi mais
une modalité de lecture du réel à laquelle on peut
sattendre du sujet qui met au travail le savoir de son symptôme
et la vérité de son désir. Elle signe donc le passage
de limpuissance (plainte liée au symptôme, à
linhibition et langoisse) à la démonstration
de limpossible la forme et le matériau (voix, regard...)
que prend cette démonstration relevant du fantasme du sujet.
Ce que je pointe ici comme effet du travail analytique est facilement
repérable dans la clinique. Une question se pose toutefois :
la transformation subjective issue du travail de la cure analytique
se manifeste-t-elle par la sublimation ? Bref, le concept de la sublimation
est-il le plus juste à nommer cette transformation subjective
? Est-ce que le sinthome, par exemple, ne serait pas la nouvelle forme
que prend la sublimation au terme dune analyse dailleurs
Lacan ne fait pratiquement plus référence au concept de
la sublimation après 1969, séminaire Dun Autre à
lautre, alors que celui du sinthome devient central dans ses derniers
séminaires ? Questions à reprendre. *
* *
Cest donc à rabattre la pulsion au rang du besoin
ce même besoin auquel les discours ambiants ne cessent de se référer
que lon écrase toute ouverture à la sublimation.
Il y a mille façons de répondre en ravalant la pulsion
au besoin ce dont témoignent nombre de (psycho)thérapies.
Ne pouvons-nous pas mieux circonscrire lenjeu de cette morosité
subjective généralisée, à laquelle je faisais
référence en début de texte, avec le concept de
sublimation ? Une jouissance sans savoir, voilà ce que semble
traduire cette morosité.
La psychanalyse répond à ce malaise par une mise au savoir.
Mise au savoir qui épure fait lecture la structure
des scories imaginaires et symboliques qui occultent le rapport du sujet
à sa castration. Occultation qui fait obstacle à lactivité
de la pensée à laquelle je me référais en
début de texte ; « le rejet de la castration marque le
délire de la pensée »[xvi].
Linvention crée son auteur et non linverse.
[i] Sigmund Freud, Inhibition, symptôme et angoisse (1926), Paris,
PUF, 1986, p. 12.
[ii] Jacques Lacan, Le Séminaire, Livre XVI, Dun Autre
à lautre (Inédit), leçon du 4 juin 1969.
[iii] Ce texte est issu dun travail de cartel ayant pour objet
le séminaire de Lacan : Léthique de la psychanalyse.
[iv] Il sagit ici du symptôme névrotique. Dans la
psychose, il sagit plutôt de forclusion de la fonction paternelle
; dans ce cas, cest une construction délirante qui viendra
faire suppléance.
[v] Sigmund Freud, « Pulsions et destins des pulsions »
(1915), in Métapsychologie, Paris, Gallimard.
[vi] Id. : « Je crois que lon devrait envisager la possibilité
que quelque chose dans la nature même de la pulsion sexuelle ne
soit pas favorable à la réalisation de la pleine satisfaction
» (« Sur le plus général des rabaissements
de la vie amoureuse » (1912), in La vie sexuelle, Paris, PUF,
p. 64.) « La fonction sexuelle se refuserait quant à elle
à nous accorder pleine satisfaction et nous contraindrait à
suivre dautres voies. » (Malaise dans la civilisation (1929),
Paris, PUF, p. 57-58.)
[vii] Id. « Le symptôme serait le signe et le substitut
dune satisfaction pulsionnelle qui na pas eu lieu ; il serait
un résultat du processus du refoulement. » (Inhibition,
symptôme et angoisse, op. cit., p. 7). Voir également le
petit exemple clinique dont parle Freud dans lEsquisse, à
propos de la sexualisation du symptôme dEmma (Naissance
de la psychanalyse (1895), Paris, PUF, p. 364.
[viii] « Le psychanalyste ne sautorise que de lui-même
» (Lacan, « Proposition du 9 octobre 1967... », in
Scilicet no 1, Paris, Seuil, p. 14.).
[ix] Jacques Lacan, « De la psychanalyse dans ses rapports avec
la réalité », in Scilicet no 1, Paris, Seuil, 1968,
p. 58.
[x] La figure topologique du huit intérieur montre bien que le
creux, l « extimité » du sujet, se situe au
cur de son être ; le semblant venant ici occulter ce vide.
[xi] Jacque Lacan, Le Séminaire, Livre VII, Léthique
de la psychanalye (1959-60), Paris, Seuil, p. 83.
[xii] Idem, p. 125.
[xiii] Idem, p. 133.
[xiv] « Dans la définition de la sublimation comme satisfaction
sans refoulement, il y a, implicite ou explicite, passage du non-savoir
au savoir... » (Idem., p. 340.)
[xv]Id., « Lituraterre », voir la séance du 12/05/71,
Le Séminiare, Livre XVIII, Dun discours qui ne serait pas
du semblant (inédit). Texte publié dans Ornicar ?, no
41.
[xvi] Id., Le Séminaire Livre XIV, La logique du fantasme (inédit),
01/03/67.
La page d'origine : http://www.elm.qc.ca/Publications/sublimation.html
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