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Les Cyber-Robots de guerres arrivent en Irak Origine :
http://toulouse.indymedia.org/article.php3?id_article=1593
Les robots-tueur d'homme font leur apparition. La science-fiction
n'est plus qu'une écriture d'anticipation. Laissons de côté un moment
les armes biologiques, chimiques, nucléaires et autres « gadget »t
apocalyptiques ...Cela fait un demi-siècle que nous avons de quoi
faire explosé 6 fois la terre. Pas bien jolie mais rien de neuf Hélas.
D'autre facteur comme les changements climatiques en pleines accélérations
de nos jours remette déjà en question certain paramètre dans les possibilités-statistique
qu'a l'humanité de se survivre à elle-même. Rien de nouveau sous le
ciel non plus. Mais sur le terrain de la guerre les premier « Terminator
» tueur d'homme sortent leur bout du nez à canon. Des robots-tueur
d'homme et oui... Vous lâchez la bestiole dans un immeuble ... et
avec un bon programme autonome elle se charge de faire le ménage «
Léon »version guerre des étoiles.
Année 2020 ? 2025 ?
Non année 2005 ils débarquent en Irak. L'homme et la machine se mélange
déjà depuis longtemps dans un monde bio-cybernetique et virtuel ou
le métal et la chair ne font qu'un. La machine homme avion fait de
nous des « oiseau de métal », coeur, rein artificiel, vis vertébrales
font de nous des « Bio-cyborge », les voiture ont étendu notre corps
jusqu'à ce qu'il ait des roues (cf le philosophe Deleuze), nous sommes
alors devenu des « homme à propulsion » que dire des cellules souche....ETc
L'homme change LA nature et donc change DE nature. La vitesse de l'antique
« évolution » naturel de l'homme est démultipliée 100000 là non plus
rien de nouveau. Mais si c'est premier balbutiement Bio Technostructure
peuvent nous amener à entrevoir le futur avec perplexité, Le présent
est bien plus cruel...Et réel. Et le cynisme affligeant. Après Pretoria,
Swords se pointe. Les drones ont déjà montré leur « efficacité » ,
mais non encore fallait-il pouvoir conquérir le sol et non plus seulement
les airs et la mer ...Ils voulaient aussi la terre. Le changement
est de taille. L'homme et la machine semblent continués a « fusionné
» cette fois si sur le terrain de la guerre terrestre et sous la forme
de « Swords »...
Un ballon d'essais sûrement mais qui nous indique ce qui nous attend
dans une future proche.Au japon des robots surveillent déjà les appartements
des braves gens en leur absence, en Afghanistan ils servaient à déminer
ou entré dans des caches terroristes pour ouvrir le chemin aux commandos
d'élite, dans nos usines, ils fabriquent des voitures , des chars,
de l'électronique. (Et du chômage ? !) Mais ici un nouveau
pas viens d'être franchi. Les Swords-terminator son des robots guerriers
dont l'objectif est de tué des hommes, ils seront nous disent les
media diriger à distance par des hommes ...Bien que la possibilité
de les mettre en mode autonome existe ! ! ! Mode autonome.
Voilà a mon sens la ligne rouge. Jusqu'ou ne s'arrêterons-ils pas.
J'ai glané ici et la quelque page sur le sujet. J'ai ajouté par ce
que je trouve que c'est à mourir de rire au sens propre et figuré
les liens et quelque extrait sur l'invention et l'activation de robots-journalistes
envoyé dans les zones de combat ou aucun journaliste ne peut intervenir.
Comble de l'ironie Bientôt des robots iront nous ramener de l'info
sur une guerre mené par des robots ... sauf qu'au milieu de ce merdier
future proche avenir il y a des hommes . il y avait ? ?
RAGE AGAINST THE MACHINE.
Un article de L' Ortographiste Degeneré RELODED V N 2II Modul-1
HaCK-Faf-TracKing / Modul 2 n°ghTi345MachineWare against Machine
Ware communiqué le 28/JAN/2004 from Web-Hyperspace zone TAZ (HJK7)
Le soldat robot débarque en Iraq
L'armée américaine va déployer pour la première fois sur
un théâtre d'opération des soldats robots
SWORDS ( Special Weapons Observation Reconnaissance Detection
Systems ) n'a rien du soldat mais tout du robot ! C'est le
premier "soldat robot" à être déployé sur un théâtre d'opération,
l'Iraq. 18 véhicules robotiques militaires armés, et pilotés à distance,
vont bientôt rejoindre les zones de combat de l'armée américaine
en Iraq. (...)C'est la première fois que des robots armés vont être
utilisés au feu. La robotique était jusqu'à présent réservée aux
drones (avions téléguidés) et aux robots démineurs. (...)Mais un
"Swords" est différent ! Véritable arme de combat, chaque véhicule
- qui coûte 230.000 dollars - dispose de deux mitrailleuses lourdes,
avec plus de 300 chargeurs chacune, et capables de tirer à plus
de 1.000 mètres de distance ! (...)
Article payant
http://liberation.fr/page.php ?Artic...
Il ne mange pas. Il ne souffre pas. Il ne rate presque jamais
sa cible. C'est un robot. Ce qui ressemble à son nez est la pointe
d'un fusil-mitrailleur M 249. pourtant, l'apparition de ces robots-tueurs
n'est pas un événement anodin. Elle marque le début d'une nouvelle
révolution dans l'art de la guerre, un de ces tournants comparables
à la découverte de la poudre ou de la bombe atomique. Le vrai changement
aura lieu lorsque les robots prendront de l'autonomie. (...) ,un
centre de recherches sur la sécurité nationale, c'est pour la fin
de la prochaine décennie : « Les humains leur donneront une
mission, qu'ils exécuteront. Par exemple : vous devez nettoyer
cet immeuble, et vous êtes autorisés à tuer tous les humains de
plus de 1,30 m s'y trouvant. » Si la tentation de fabriquer des
robots autonomes est très forte, explique-t-il, c'est parce qu'ils
permettront enfin de résoudre un des principaux casse-tête de la
guerre : le fait que les soldats ont énormément de mal à tirer
sur d'autres êtres humains (...) (...) Après l'« autonomisation
» des robots, l'étape suivante sera celle des « décisions morales
» : « Les progrès de l'intelligence artificielle sont tels
que, dans deux ou trois décennies, on sera en mesure de faire des
robots qui, techniquement, seront capables de prendre des décisions
autonomes complexes, des décisions morales » ,assure Steven Metz(...)Puis,
pronostique Steven Metz, se posera la question de savoir si on peut
passer à un second niveau : « Faire en sorte que le robot réfléchisse
lui-même à ses décisions : si j'agis ainsi, quelles seront
les implications. Pourquoi serait-ce mal ? »
http://www.checkpoint-online.ch/Che...
( ...)la robotisation dans les forces terrestres est un enjeu majeur
du futur. En effet, si elle est porteuse de nouvelles perspectives
opérationnelles, elle modifie aussi profondément la place de l'homme
dans l'espace de bataille. « ... La présence d'engins inhabités
dans l'espace de bataille modifiera surtout le rapport traditionnel
du soldat avec son arme, et par conséquent de l'homme avec la guerre.
» (...) Ces progrès permettent aux machines d'appréhender, puis
de dominer leur environnement. Elles suppriment aussi bien sûr la
présence humaine à bord. (...)C'est pour cette raison que les engins
inhabités terrestres font l'objet d'efforts de recherche considérables
tenant compte de l'évolution permanente de la robotique. Les Etats-Unis
multiplient les programmes de TUGV. Les Européens agissent encore
de manière dispersée mais réfléchissent activement à leur emploi.
En France, l'Etat-major de l'Armée de Terre envisage d'utiliser
les systèmes robotisés pour différentes opérations : renseignement
tactique, combat en zone urbaine, contre-minage, aide à l'engagement
des unités de mêlée, reconnaissance et balisage NBC, mise en oeuvre
de contre-mesures, leurrage, opérations spéciales. La robotisation
terrestre devrait donc bientôt se concrétiser, puis se généraliser.
(...) A partir d'une plate-forme de base équipée de modules, il
assumera les fonctions de fardier logistique, engin de déminage
léger ou robot d'appui-feu. (...) On imagine les conséquences de
l'engagement d'un robot armé autonome en contrôle de foule. Il convient
donc de laisser l'intelligence de situation humaine assurer seule
la conduite de la manoeuvre.
La robotisation terrestre, défi technologique et
défi humain
8 août 2004
Prototype SYRANO de la DGAL
http://www.checkpoint-online.ch/CheckPoint/Materiel/Mat0038-RobotisationTerrestre.html
La robotisation dans les forces terrestres est un enjeu majeur
du futur. En effet, si elle est porteuse de nouvelles perspectives
opérationnelles, elle modifie aussi profondément la
place de l’homme dans l’espace de bataille.
En 1991 et pour la première fois dans l’histoire,
des hommes se sont rendus à un robot. A Koweït City
en effet, des soldats irakiens ont agité le drapeau blanc
en apercevant un drone de reconnaissance de l’US Marine Corps
survoler leur position.
Cet événement authentique remonte maintenant à
plus de dix ans. Il amène cependant à s’interroger
sur la place de la robotique militaire dans nos forces terrestres
futures et sur ses conséquences humaines.
«... La présence d'engins inhabités dans l'espace
de bataille modifiera surtout le rapport traditionnel du soldat
avec son arme, et par conséquent de l'homme avec la guerre.
»
Partant du constat qu’un robot est nécessairement constitué
d’un engin, d’un opérateur et d’un environnement,
on entend par robotisation tout système pouvant se substituer
à l’homme dans ses fonctions motrices et sensorielles,
capacités réalisables à l’horizon 2015
.
La robotisation dans les forces terrestres est un enjeu majeur
du futur. En effet, si elle est porteuse de nouvelles perspectives
opérationnelles, elle modifie aussi profondément la
place de l’homme dans l’espace de bataille. Les drones
terrestres doivent encore surmonter des obstacles techniques. Mais
ils se généraliseront bientôt, répondant
aux nouveaux besoins des armées. Enfin et surtout, leur emploi
futur aura d’importantes répercussions d’ordre
humain.
Le nombre contre la flexibilité
Les applications terrestres de la robotique sont progressives car
en dépit des évolutions techniques, des contraintes
persistent et nécessitent des efforts de recherche importants.
Le développement des drones bénéficie de la
combinaison d’évolutions technologiques. C’est
en particulier le cas pour la micro-électronique, l’énergétique,
l’optronique et les transmissions de données. Ces progrès
permettent aux machines d’appréhender, puis de dominer
leur environnement. Elles suppriment aussi bien sûr la présence
humaine à bord.
Lors du salon international de l’aéronautique de Singapour
en février 2004, un drone d’observation aéroporté
a pour la première fois été présenté
en vol au public, témoignant de la maîtrise désormais
atteinte dans les automatismes. On constate néanmoins que
les drones terrestres tactiques (Tactical Unmanned Ground Vehicle,
TUGV) restent en retard sur leurs homologues marins ou aériens.
En effet, l’environnement terrestre militaire est beaucoup
plus complexe que les milieux homogènes que sont l’eau
et l’air. Ces derniers sont déjà presque totalement
maîtrisés par la technique. Lors des dernières
opérations en Irak, des drones aéroportés et
marins ont ainsi été largement employés par
la coalition. Ils ont par exemple participé à la destruction
de sites de missiles sol-air ou au déminage des chenaux d’accès
aux ports.
C’est pour cette raison que les engins inhabités terrestres
font l’objet d’efforts de recherche considérables
tenant compte de l’évolution permanente de la robotique.
Les Etats-Unis multiplient les programmes de TUGV. Les Européens
agissent encore de manière dispersée mais réfléchissent
activement à leur emploi. En France, l’Etat-major de
l’Armée de Terre envisage d’utiliser les systèmes
robotisés pour différentes opérations : renseignement
tactique, combat en zone urbaine, contre-minage, aide à l’engagement
des unités de mêlée, reconnaissance et balisage
NBC, mise en œuvre de contre-mesures, leurrage, opérations
spéciales. La robotisation terrestre devrait donc bientôt
se concrétiser, puis se généraliser.
L’avènement de la robotique terrestre est en effet
inéluctable. Tout en étant le complément naturel
de la numérisation, elle donne une nouvelle dynamique aux
principes de la guerre et répond aux réalités
des forces futures. La numérisation actuelle des forces armées
prépare l’arrivée de la robotisation. La puissance
de calcul et le travail en réseau des Systèmes d’Information
et de Communication en font l’interface idéale pour
prendre en compte les données émises ou reçues
par les drones. Dans la future Bulle Opérationnelle Aéroterrestre
ou BOA, la robotique jouera un rôle clef. Les premiers engins
terrestres devraient être opérationnels vers 2015.
Dans cette perspective, la Direction Générale de l’Armement
(DGA) a mis au point le prototype SYRANO (Système Robotisé
d’Acquisition pour la Neutralisation d’Objectifs). Il
préfigure les futurs drones de reconnaissance de la BOA.
Par ailleurs, l’emploi des systèmes robotisés
répond aux trois principes de la guerre tout en les valorisant
considérablement. Les drones de combat permettent de concentrer
les efforts en soulageant les combattants, en particulier là
où le danger est élevé. Ils économisent
les moyens en complétant l’action de l’individu
lorsque les tâches à effectuer sont rudes et pénibles.
Ils garantissent enfin la liberté d’action en assurant
une permanence et une disponibilité dont l’homme est
incapable pour des raisons physiques évidentes. Le TUGV MULE
(Multi-role Utility/Logistics Equipment) destiné aux troupes
aéroportées américaines est révélateur
de ces capacités. A partir d’une plate-forme de base
équipée de modules, il assumera les fonctions de fardier
logistique, engin de déminage léger ou robot d’appui-feu.
Surtout, de manière plus générale, les engins
automatisés arrivent au moment où les armées
réduisent leur format, obligeant à une meilleure gestion
des effectifs disponibles. Ils correspondent aussi à la volonté
de diminuer les risques encourus par les soldats, même dans
les opérations de basse intensité. Enfin, ils permettent
une économie financière. N’embarquant personne
à bord, les coûts liés à la présence
d’un opérateur, comme l’ergonomie et le blindage,
sont supprimés. Suivant cette triple logique, les forces
spéciales américaines ont employé des chenillettes
téléopérées pour éclairer leur
progression dans les caches d’Al Qaïda en Afghanistan.
Véritable multiplicateur de force opérationnel, le
robot modifie aussi profondément le rôle de l’homme
qui l’utilise.
Les implications humaines de la robotisation sont fondamentales.
En effet, si l’homme garde le contrôle de la machine,
sa cohabitation avec elle soulève de nombreuses questions
éthiques et philosophiques. En premier lieu, il faut souligner
que les systèmes robotisés à venir demeureront
téléopérés, même si des fonctions
comme la mobilité pourront bénéficier d’une
certaine autonomie. L’avantage est de conserver en permanence
le contrôle de l’engin, de lui donner une souplesse
de réaction, une capacité d’esquive, tout en
réduisant les coûts grâce à une technologie
simplifiée. Ce besoin est d’autant plus indispensable
lorsque le drone terrestre a un armement pour sa sûreté
rapprochée ou sa mission elle-même. On imagine les
conséquences de l’engagement d’un robot armé
autonome en contrôle de foule. Il convient donc de laisser
l’intelligence de situation humaine assurer seule la conduite
de la manœuvre.
En second lieu, l’impact psychologique et sociologique de
ces nouveaux équipements dans l’opinion publique doit
être pris en compte. Il en est de même dans des pays
de culture et de niveau de développement différents
où ils seraient déployés. On peut se demander
si l’emploi du robot sera toléré par les sociétés
occidentales, soucieuses d’éviter les guerres «
inhumaines ». Et comment il sera aussi perçu par d’autres
peuples déjà traditionnellement hostiles aux techniques
modernes. Le Centre d’Analyse de la Défense de la DGA
étudie actuellement cet aspect essentiel de la robotisation,
ainsi que ses conséquences juridiques. L’ignorer risquerait
de remettre largement en cause les avantages qu’elle est censée
apporter aux forces.
Enfin, la mise en place de drones ne saurait se substituer au déploiement
de combattants sur le terrain. Leur vocation est effectivement d’être
complémentaire et d’assister les moyens humains. Cependant,
le militaire placé aux commandes d’un robot s’éloigne
inévitablement du lieu du combat. Il devient alors un simple
servant. Parallèlement, les interfaces technologiques accroissent
la dilution de sa responsabilité : en cas d’erreur
fatale de tir, qui serait mis en cause ? L’opérateur-servant,
son chef ou le concepteur de l’engin ? Il est donc urgent
de fixer des limites afin de laisser la primauté à
l’homme. Il doit rester un soldat, sans se transformer en
technicien froid et passif, protégé du danger par
sa machine. Certes, le robot est capable d’exécuter
remarquablement ses missions. Mais l’homme détient
des qualités inaliénables qui font toute sa supériorité:
le courage, le sacrifice, l’honneur.
La numérisation n’est que l’application des
nouvelles technologies de l’information et de la communication
au monde militaire. Or de nombreux débats agitent la communauté
militaire à ce sujet. Ils tiennent parfois plus de la résistance
à la modernité, voire au changement tout court qu’à
une analyse raisonnée. Employée avec pragmatisme et
discernement, la numérisation sauvera pourtant des vies et
aidera à gagner des batailles. La présence d’engins
inhabités dans l’espace de bataille ne répond
pas complètement à la même logique. Comme la
numérisation, elle bouleversera la donne du combat classique.
Elle participera à l’obtention de la supériorité
tactique. Mais elle modifiera surtout le rapport traditionnel du
soldat avec son arme et par conséquent, de l’homme
avec la guerre.
La robotisation terrestre s’annonce donc bien comme un enjeu
majeur, une véritable révolution culturelle à
laquelle il faut se préparer. Comme le rappelle Hervé
Coutau-Bégarie, « plus l'investissement matériel
est grand, plus l'investissement intellectuel doit suivre ».
Il appartient désormais aux chefs militaires actuels et futurs
d’anticiper cette avancée supplémentaire afin
d’en exploiter tout le potentiel et d’en faire un nouvel
outil de puissance.
Chef d'escadron Jean-Louis Vélut
Stagiaire de la 117e promotion du CSEM (France)
http://www.silicon.fr/getarticle.as...
REPORTAGE -Un robot reporter pour les champs de bataille
Comment couvrir les opérations militaires les plus dangereuses ?
En envoyant des robots contrôlés à distance. Un bon moyen de garantir
une information directe, même si l'engin risque de finir en petits
morceaux...
Le soldat robot débarque en Iraq
L'armée américaine va déployer pour la première
fois sur un théâtre d'opération des soldats
robots
Lundi 24 janvier 2005 Par la Rédaction
http://www.silicon.fr/getarticle.asp?ID=8241
SWORDS (Special Weapons Observation Reconnaissance Detection Systems)
n'a rien du soldat mais tout du robot ! C'est le premier 'soldat
robot' à être déployé sur un théâtre
d'opération, l'Iraq.
18 véhicules robotiques militaires armés, et pilotés
à distance, vont bientôt rejoindre les zones de combat
de l'armée américaine en Iraq.
C'est la première fois que des robots armés vont
être utilisés au feu. La robotique était jusqu'à
présent réservée aux drones (avions téléguidés)
et aux robots démineurs.
Mais un "Swords" est différent ! Véritable
arme de combat, chaque véhicule – qui coûte 230.000
dollars – dispose de deux mitrailleuses lourdes, avec plus
de 300 chargeurs chacune, et capables de tirer à plus de
1.000 mètres de distance !
Les armes prennent place sur une plate-forme Talon, un robot multifonction
à chenilles, équipé d'un bras, qui a fait son
apparition en 2000 en Bosnie, puis en 2002 en Afghanistan, et enfin
dans les unités de déminage en Iraq.
Selon Foster-Miller, concepteur du robot, Talon cumule plus de
20.000 missions actives sur tous les fronts. Et Swords a été
qualifié par le Time Magazine comme l'une des inventions
les plus incroyables de l'année 2004.
Ce système est un prélude au Future combat system
-ces futurs véhicules de combat entièrement automatisés
équiperont l'armée américaine dans plusieurs
années.
Ou quand l'Amérique fera la guerre sans risquer physiquement
les américains ! Tout comme ce que les conseillers de l'administration
Bush évoquaient au début du bourbier iraquien !
Article payant http://www.courrierinternational.co...
http://www.transfert.net/a8232
Le robot : l'avenir du journaliste ?
Après la mort de plusieurs journalistes en Afghanistan,
une équipe de chercheurs du MIT a créé un robot-reporter.
La Home Page du projet « Afghan Explorer » s'ouvre sur une citation
du journaliste du Chicago Tribune Don Wycliff, datée du 11 octobre
2001 : « L'expérience a montré encore et encore qu'un public
informé et éveillé est la meilleure forme de pouvoir, public ou
privé. C'est pourquoi il est très inquiétant de voir les obstacles
que place le Pentagone pour empêcher la couverture, sur le terrain,
de la guerre contre le terrorisme [...] ». Pour continuer d'assurer
l'information du public, même dans des conditions aussi difficiles
qu'en Afghanistan, une équipe du MIT (Massachusetts Institut of
Technolgy) a imaginé et construit Afghan Explorer, le premier robot
journaliste. Dirigés par Chris Csikszentmihalyi (...)
Le robot : l’avenir du journaliste ?
Technologies
5/03/2002 • 19h48
http://www.transfert.net/a8232
Après la mort de plusieurs journalistes en Afghanistan,
une équipe de chercheurs du MIT a créé un robot-reporter.
La Home Page du projet « Afghan Explorer » s’ouvre
sur une citation du journaliste du Chicago Tribune Don Wycliff,
datée du 11 octobre 2001 : « L’expérience
a montré encore et encore qu’un public informé
et éveillé est la meilleure forme de pouvoir, public
ou privé. C’est pourquoi il est très inquiétant
de voir les obstacles que place le Pentagone pour empêcher
la couverture, sur le terrain, de la guerre contre le terrorisme
[...] ». Pour continuer d’assurer l’information
du public, même dans des conditions aussi difficiles qu’en
Afghanistan, une équipe du MIT (Massachusetts Institut of
Technolgy) a imaginé et construit Afghan Explorer, le premier
robot journaliste. Dirigés par Chris Csikszentmihalyi, les
scientifiques américains ont élaboré un drôle
d’engin qui ressemble à un véhicule d’exploration
spatiale. Une ressemblance que ne renient pas les créateurs
qui déclarent, sur leur site : « Les Etats-Unis envoient
bien des robots autonomes dans l’espace, pourquoi ne pourrions-nous
pas faire de même pour les points chauds du globe ? ».
Alimenté par des panneaux solaires
Grâce à ses quatre roues motrices, ce cyber journaliste
se déplace sur tous les terrains, et particulièrement
sur les lieux accidentés où il est appelé à
intervenir. Des panneaux solaires disposés sur son dos constituent
sa seule source d’énergie. Charge à eux de fournir
l’électricité nécessaire à tous
les gadgets embarqués dans l’Afghan Explorer. En bon
journaliste, l’engin a emporté sa camera pour interviewer
les personnes qu’il croise au fil de sa route. Il est aussi
muni d’un petit écran vidéo qui permet à
l’interviewé de regarder la personne avec qui il discute.
Les interlocuteurs communiquent à l’aide d’un
microphone et d’un haut-parleur. L’interview est transmise
par liaison satellite depuis le terrain -dangereux- jusqu’au
centre de contrôle -confortable- aux Etats-Unis. L’Afghan
Explorer, qui se pilote à distance, dispose, pour plus de
précisions, d’un système GPS et une boussole
électronique.
Une tentative vouée à l’échec
Si l’intention est louable, personne n’est dupe : la
probabilité que cet engin se rende vraiment en Afghanistan
comme annoncé est plutôt faible et surtout, il est
peu probable qu’il parvienne à ramener un quelconque
travail journalistique. « Regardez pour Daniel Pearl [un journaliste
américain du Wall Street Journal, enlevé au Pakistan,
puis sauvagement assassiné, ndlr] vous ne pouvez pas envoyer
une machine pour ce genre de mission, ça aurait été
bien, mais ça ne marchera jamais » explique Daniel
Sneider, journaliste au San Jose Mercury, dans les colonnes de Wired.
Des obstacles que Chris Csikszentmihalyi lui-même ne cherche
pas à cacher, puisque dans le même article, il déclare
: « Si des gens voient cette étrange machine avancer
vers eux, leur premier réflexe sera probablement de tirer.
Cet engin est un véritable aimant à balle, et il y
résiste très mal ».
Benjamin Cherrière
L’article de Wired
http://www.wired.com/news/technolog...
Le site du projet Afghan Explorer
http://compcult.media.mit.edu/afghan_x/
http://www.lexpansion.com/art/0.0.5...
REPORTAGE -Un robot reporter pour les champs de bataille
Comment couvrir les opérations militaires les plus dangereuses ?
En envoyant des robots contrôlés à distance. Un bon moyen de garantir
une information directe, même si l'engin risque de finir en petits
morceaux...
La guerre, toujours plus techno
L'Expansion 20/02/2002
Les frappes américaines contre l'Afghanistan ont tourné
à la démonstration. Revue des techniques qui révolutionnent
la stratégie militaire.
http://www.lexpansion.com/Pages/PrintArticle.asp?ArticleId=56688
La « révolution des affaires militaires » évoquée
depuis quelque temps par les meilleurs experts du Pentagone a commencé.
Elle a débuté lors du conflit qui vient de se dérouler
en Afghanistan. « Ces soldats religieux fanatisés qui
rêvaient de "casser de l'Américain" ont été
mis en déroute sans en avoir vu un seul », résume
Jean-Loup Picard, directeur chargé de la stratégie
et du développement à Thales (ex-Thomson-CSF). «
Ce qui s'est passé là-bas, poursuit-il, traduit un
changement radical dans la conception de la guerre. »
Tout a fonctionné encore mieux que ne l'imaginaient les
stratèges américains. L'emploi massif de l'observation
électronique d'un côté, de l'informatique nomade
utilisée par des poignées d'hommes insaisissables
de l'autre, a permis un bombardement redoutablement efficace des
forces des taliban. Ces matériels ultrasophistiqués
ont pourtant opéré le plus souvent à partir
de vieux engins : le B52 a 40 ans, ses bombes JDAM en ont 50. Mais
l'électronique du bombardier est moderne, et la bombe est
dotée d'un kit de guidage GPS qui coûte moins de 9
000 dollars. Ce sont les conditions de leur mise en oeuvre qui sont
révolutionnaires. « Il y a dix ans, en Irak, il fallait
presque vingt-quatre heures entre le moment où une cible
était détectée et celui où elle était
bombardée, explique Jean-Loup Picard. Au Kosovo, quelques
heures suffisaient. En Afghanistan, à peine dix minutes.
» Qui dit vitesse et précision dit économie
de moyens : l'engagement aérien a été d'un
niveau dix fois inférieur à celui de la guerre du
Golfe, et les « tapis de bombes » étaient de
dimensions limitées. Cela a entraîné un avantage
logistique essentiel, car, en dehors de leurs trois porte-avions
et de la base de Diego Garcia, les Américains ne disposaient
pas de bases opérationnelles proches.
La boucle repérage-bombardement de l'objectif a été
incroyablement raccourcie par l'usage du drone, ce petit avion-robot
d'observation téléguidé depuis l'autre côté
de la frontière. « Les Américains ont expérimenté
en situation de combat ce qu'on appelle le "commandement des
opérations en images", au point qu'à l'état-
major de Tampa, en Floride, le conseiller juridique a pu intervenir
à partir de la vidéo et stopper quelques frappes sensibles
pour les civils », explique Marc Perrin de Brichambaut, délégué
aux affaires stratégiques du ministère de la Défense.
Ce ne fut cependant pas suffisant pour empêcher toutes les
bavures : l'éventuelle intervention d'un juriste devait être
très rapide, car, parallèlement au « contrôle
par l'image », l'initiative des hommes de terrain est démultipliée.
« Un sous-officier des forces spéciales qui a repéré
un objectif peut déclencher, grâce à une liaison
directe avec les avions de bombardement, une frappe aérienne
quasi immédiate sans que cette décision ne remonte
et ne redescende tout le circuit hiérarchique », constate
Jean-Loup Picard.
Ces « contrôleurs » des forces spéciales,
pivots de cette « gestion coopérative, en réseau,
des objectifs et des frappes », sont peut-être tout
bonnement en train de dynamiter l'organisation militaire traditionnelle.
Déjà les Américains proposent cette manière
de combattre à leurs alliés : le radar d'un bateau
hollandais détectant une cible en Méditerranée
et déclenchant la frappe d'un navire turc ou d'un avion italien
sous le regard américain, c'est peut-être pour demain.
En Afghanistan, cette gestion coopérative exercée
avec les soldats de l'Alliance du Nord a été si efficace
qu'elle a épargné l'intervention des bataillons de
GI prévue au départ.
Au coeur de la révolution militaire, il y a la numérisation
du champ de bataille au sens large : des millions d'informations
diplomatiques et militaires transmises en langage binaire sévèrement
crypté. Elles sont empilées, triées et disséquées
en permanence par des machines et des logiciels surpuissants capables
d'en faire la synthèse et de dégager les faits pertinents.
« La France a des besoins criants dans ce domaine, ainsi que
pour les logiciels de cryptage très perfectionnés
», note Jean-François Bureau, le patron de la Direction
de l'information (Dicod) au ministère de la Défense,
désignant l'amoncellement de papiers qui encombrent les salles
du ministère.
Le conflit afghan a souligné l'écart croissant entre
les capacités des Américains et celles de tous les
autres. Notamment des Français. L'indisponibilité
du Charles-de-Gaulle a relancé la polémique autour
de la nécessité d'un second porte-avions nucléaire.
Jacques Chirac s'est nettement prononcé en sa faveur, mais
des experts continuent à souligner la vulnérabilité
et la lourdeur du premier. L'ancien délégué
général à l'armement Henri Martre souligne
l'exemple des Britanniques, présents dès le début
du conflit avec des missiles tirés de sous-marins nucléaires.
L'écart se creuse non seulement pour le nombre d'hommes et
de matériels opérationnels, ridiculement faible dans
l'Hexagone, mais aussi pour les conditions de leur mise en oeuvre.
« Si l'on prend un à un les moyens utilisés
en Afghanistan, commente Jean-Loup Picard, nous ne sommes pas techniquement
distancés. Mais la grande avancée américaine
réside dans la mise en oeuvre cohérente de tous ces
moyens. »
La Direction générale de l'armement (DGA) travaille
dans cette voie, mais n'en est qu'au stade des études de
« bulles opérationnelles » pour l'infanterie,
constituées autour de nouveaux blindés légers.
Quand seront-ils disponibles ? Personne ne le sait, comme d'habitude.
On est loin de la maîtrise dont ont fait preuve les Américains,
improvisant même l'essai au combat de drones Predator armés
de missiles supersoniques, traquant puis détruisant de nuit
un groupe de talibans qui se croyaient à l'abri dans un hôtel.
Ces leçons, comme celles de toutes les guerres, méritent
toutefois d'être nuancées : l'insigne faiblesse de
la défense antiaérienne de l'adversaire a permis aux
forces spéciales américaines de pénétrer
aisément, et aux bombardiers de se consacrer immédiatement
à l'appui-feu de l'Alliance du Nord. Il en irait différemment
si le président Bush décidait de s'attaquer à
« l'axe du mal », Iran-Irak-Corée du Nord, dénoncé
dans son discours sur l'état de l'Union du 29 janvier. Dans
tous les cas, l'arme aérienne manifeste sa primauté.
« L'avion d'attaque est une arme stratégique majeure,
estime le secrétaire général de Thales, Alexandre
de Juniac, et le grand sujet des dix ans qui viennent : l'Europe
veut-elle continuer à en développer de son côté,
ou bien choisira-t-elle de se rallier aux propositions américaines
? » Pour le radariste du Rafale, la réponse est, bien
sûr, évidente.
La bombe guidée
Les armes qui ont fait la décision en Afghanistan
La bombe qui fond sur son objectif avec une précision diabolique
grâce au positionnement par satellites (GPS) a presque volé
la vedette aux missiles. Pendant la campagne d'Afghanistan, plus
de deux bombes sur trois étaient guidées par GPS,
contre une sur trois pour la guerre du Kosovo.
Le drone armé Predator
Ce petit avion-robot téléguidé (8 mètres
de long, 15 mètres d'envergure) est capable d'évoluer
à 400 kilomètres de son point de départ et
à plus de 7 000 mètres d'altitude pendant plus d'une
journée. Equipé de caméras, il est d'abord
destiné à la reconnaissance, mais un Predator armé
capable de tirer deux missiles supersoniques Hellfire a été
expérimenté avec succès en Afghanistan.
Le missile de croisière Tomahawk tiré d'un
sous-marin
Les Britanniques ont apporté leur principale contribution
aux frappes américaines, dès les premiers jours du
conflit, en tirant des missiles de croisière depuis leurs
sous-marins nucléaires d'attaque. Les sous-marins français
ne sont pas équipés pour cela.
L'hélicoptère MH-53 Pave Low
Ravitaillable en vol, capable de voler au ras du sol grâce
à son radar anticollision, à son capteur infrarouge,
à sa centrale de navigation, à sa carte défilante
et à son système de protection intégré,
il peut transporter à plus de 1 000 kilomètres 38
membres de commandos équipés, puis venir les rechercher.
C'est lui qui a conduit la France à commander en hâte
douze exemplaires de son petit cousin d'Eurocopter, le Cougar Mark
II.
Le B52 et le B2
Utilisés en « appui-feu », l'ancêtre modernisé
(B52) et le bombardier furtif (B2) ont servi d'artillerie de luxe
à l'Alliance du Nord. La précision de leurs bombes
a joué un rôle clef dans la débandade des taliban.
Venus du milieu de l'océan Indien (Diego Garcia), voire des
Etats-Unis, ils ont rappelé l'utilité des bombardiers
à grosse capacité d'emport de bombes et à long
rayon d'action.
Le buggy
Parachuté ou héliporté avec les forces spéciales,
à trois ou quatre grosses roues, c'est une version moderne
de la Jeep capable d'affronter des terrains encore plus accidentés.
On songe déjà à des buggys équipés
de blindages très légers en composite. En Afghanistan,
les forces spéciales ont aussi utilisé des mulets
et des chevaux.
Les petits commandos de forces spéciales
Composés d'une dizaine d'hommes surentraînés,
ils ont rendu possibles les bombardements américains de précision
et la résurrection - avec des armes russes - des troupes
de l'Alliance du Nord. Ils ont été si efficaces que
le déploiement de l'infanterie américaine est devenu
inutile.
Les contrôleurs de combat
Ils sont une centaine au maximum. Chacun d'eux est intégré
dans un commando des forces spéciales. Equipé de près
de 70 kilogrammes de matériel (récepteur GPS, ordinateur
portable, émetteur radio, rayon laser longue portée
et... fusil), ils détectent les cibles, indiquent aux avions
leur localisation, le type de bombes et l'angle d'attaque à
adopter. Ils « désignent » s'il le faut les objectifs
avec leur rayon laser.
Le cryptage de communications numériques
Le champ de bataille devient une « bulle numérique
». Il est régi par des informations numérisées
transmises jusqu'à l'autre bout du monde, de plus en plus
souvent sur la base de protocoles Internet. A la fois abondantes
et largement diffusées, ces informations confidentielles
réclament des moyens de cryptage de plus en plus perfectionnés.
Les ordinateurs et les logiciels de traitement de l'information
Capables d'analyser, de synthétiser et de sélectionner
les informations pertinentes et essentielles - parmi les millions
qui peuvent intéresser chaque jour les décideurs d'un
pays en guerre (baptisés C4-ISR aux Etats-Unis, C3I en France)
-, ils ont joué un rôle capital dans le conflit afghan.
Ils sont l'ossature de la « révolution des affaires
militaires » en marche.
Lancement d'un satellite militaire « satcom ».
Il a permis la transmission des données numériques
entre les acteurs sur le champ de bataille et entre les états-majors
qui, depuis l'Arabie saoudite ou la Floride, suivaient les opérations
en direct, et souvent par vidéo.
Philippe Gallard
Article payant http://www.courrierinternational.co...
Un article de L'Ortographiste Degeneré RELODED V N 2II Modul-1
HaCK-Faf-TracKing / Modul 2 n°ghTi345MachineWare against Machine
Ware communiqué le 28/JAN/2004 from Web-Hyperspace zone TAZ (HJK7)
AuteurE(s): Ortographiste Degeneré Reloded
Mis en ligne le mercredi 16 février 2005 à 20:34.
Commentaire(s) de cet article: > Les Cyber-Robots de guerres arrivent
en Irak
truc de fou !
Ludd est pas mort, detruisons la civilisation technicienne avant
qu'elle nous détruise !
Pour la fin de l'ere industrielle, ni autogestion, ni consommation :
destruction !
AuteurE : MeilleurDesMondars
le 16/02/2005 à 20h27
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