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Anxiolytiques, somnifères...
Anxiolytiques, somnifères et tranquillisants sont responsables de la plus grave des toxicomanies
COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER ?
« Les tranquillisants, une drogue légale aux effets ravageurs »

Anxiolytiques, somnifères...

"Les pires ravages de la drogue ne sont pas de la responsabilité d’un dealer véreux contrôlant un coin de rue, mais d’un vénérable médecin exerçant dans son cabinet."

Voir l’article « Les tranquillisants, une drogue légale aux effets ravageurs » sur Internet :

http://www.ledevoir.com/2002/09/25/9827.html

Contact : envoyer un message sur le blog « Non aux benzodiazépines »

http://nonauxbenzodiazepines.spaces.live.com



Anxiolytiques, somnifères et tranquillisants sont responsables de la plus grave des toxicomanies

« La plus grave des toxicomanies dans le monde n’a pas à voir avec l'héroïne, la cocaïne ou la marijuana. Ni d’ailleurs avec aucune drogue illégale. Elle a à voir avec un groupe de médicaments, les benzodiazépines, largement prescrits par les médecins et absorbés par des millions de gens du commun à travers le monde… Les experts de la dépendance aux drogues qui réussissent à sevrer des patients souffrant de dépendance à la benzodiazépine déclarent que ces sevrages sont plus difficiles que ceux de l'héroïne… Depuis plusieurs années, des groupes se battent pour aider les individus intoxiqués à se libérer de leurs chaînes pharmacologiques. Mais leur combat est désespéré. A peine un individu se libère-t-il de sa dépendance à l'une des benzodiazépines qu’un autre, quelque part sur la planète, s’intoxique. Je crois que la principale raison de cet état de choses est que les médecins sont intoxiqués à la prescription de benzodiazépines, comme beaucoup de patients le sont à leur absorption. Je ne pense pas que ce problème puisse jamais être résolu par la persuasion ou par des tentatives de sevrage. Je pense que la seule véritable solution de long terme, c’est que les patients se rendent compte du danger que représentent ces drogues et s’en détournent comme de la peste. Les benzodiazépines ne sont pas d’une grande utilité. Nous pouvons faire sans elles. A mon avis, le problème des benzodiazépines ne sera résolu que lorsque les patients du monde entier s'uniront et feront clairement savoir qu'ils ne sont pas disposés à accepter de prescriptions pour ces produits dangereux. »

Dr Vernon Coleman, La vie sans tranquillisant, 1985, http://www.benzo.org.uk/

Contact : envoyer un message sur le blog « Non aux benzodiazépines »

http://nonauxbenzodiazepines.spaces.live.com/




PETITION A L’ADRESSE DES FABRICANTS DE BENZODIAZEPINES,
DES MEDECINS PRESCRIPTEURS ET DES PHARMACIENS


Nous, les personnes soussignées, avons signé cette pétition afin de faire savoir que la prise des benzodiazépines (1) telle que prescrite par nos médecins a eu comme conséquence pour chacun de nous une grave intoxication, une dépendance au produit, une maladie chronique mal diagnostiquée générant une angoisse émotionnelle profonde, et plus généralement une incapacité prolongée à mener une vie normale au cours des phases de tentative de sevrage

Nous savons tous que prendre des médicaments prescrits par les médecins comporte quelques risques et que des effets néfastes peuvent se manifester chez un certain nombre de patients. Cependant nous sommes convaincus que les risques induits par la prise des médicaments appelés benzodiazépines (1) sont beaucoup plus importants que n’en ont conscience le milieu médical et nos gouvernements. Et certainement beaucoup plus grands qu’on veut bien nous le dire. Ces médicaments sont extrêmement addictifs. La douleur provoquée par le sevrage est bien plus forte dans le cas des benzodiazépines que dans celui d’autres produits, et même de drogues illicites. Nous estimons également que le pourcentage des patients chez qui les médicaments de la famille des benzodiazépines (anxiolytiques) ont eu des effets néfastes est beaucoup plus important que veulent bien l’admettre nos médecins, nos gouvernements et peut-être les fabricants de ces drogues tels que Roche, Wyeth et Upjohn.

Nous espérons que cette pétition aidera à faire prendre conscience à nos médecins, à nos gouvernements comme aux industries pharmaceutiques responsables de leur fabrication que la dépendance aux anxiolytiques n'est pas un problème mineur n’affectant que quelques individus, comme ils veulent nous le faire croire. C'est un problème global qui prend les proportions d’une épidémie. Ce constat est à faire sans tarder, mais, pour commencer, il faut que le problème soit reconnu dans toute son ampleur.

À la différence des dépendances aux drogues illicites telles que la cocaïne et l’héroïne, il n'y a à cette heure aucun protocole de traitement ni aucun antidote pour cette maladie iatrogénique (maladie induite par le traitement médical) qu’est la dépendance aux benzodiazépines. Or les symptômes de sevrage sont graves et débilitants. La période de sevrage (avant rétablissement) est beaucoup plus longue que dans le cas des drogues illicites et même de toute autre drogue connue à ce jour.

Les profits tirés de la consommation de ces benzodiazépines – non seulement par les laboratoires qui les fabriquent, tels que Roche, mais aussi par les médecins qui les prescrivent et par les pharmacies qui les vendent – dépassent l'imagination. Ce qui nous fait dire qu’il y a sûrement un intérêt commun à faire le silence sur l’ampleur du phénomène (le nombre des personnes devenues dépendantes aux benzodiazépines) et sur la nature même de la maladie provoquée par cette famille de médicaments. Ce silence permet en effet de faire croire que le problème est dû aux patients et non aux médicaments. Cette pétition a pour but de prouver le contraire.

L’impact négatif d’un ou de plusieurs médicaments de la famille des benzodiazépines a brutalement bouleversé nos vies. Nous sommes animés par le désir d’une part que la vérité éclate au grand jour, d'autre part que soit épargnée aux autres la douleur que nous avons nous-mêmes éprouvée.

(1) Les benzodiazépines sont des psychotropes plus communément appelés anxiolytiques .



Liste des principales benzodiazépines vendues en France

Alprazolam XANAX

Bromazepam : ANXYREX, LEXOMIL, QUIETILINE

Chlordiazepoxide : LIBRIUM, LIMBITROL

Clobazam : URBANYL

Clonazepam : RIVOTRIL

Clorazepate dipotassium : TRANXENE, NOCTRAN

Clotiazepam : VERATRAN

Diazepam : NOVAZAM, VALIUM

Estazolam : NUCTALON

Ethyl Loflazepate : VICTAN

Flunitrazepam : NARCOZEP, NORIEL, ROHYPNOL

Loprazolam : HAVLANE

Lorazepam : EQUITAM, TEMESTA, SERENASE

Lormetazepam : NOCTAMIDE

MexazolamMidazolam : HYPNOVEL, VERSED

Nitrazepam : MOGADON

Nordazepam : NORDAZ, PRAXADIUM

Oxazepam : SERESTA, SIGALCAM

Prazepam : LYXANXIA, DEMETRIN

Temazepam : NORMISON

Tetrazepam : MEGAVIX, MYOLASTAN, PANOS

Tofisopam: SERIEL

Triazolam: HALCION


Hypnotiques de type Z (ce ne sont pas des benzodiazépines, mais ils ont le même effet)

Zaleplon:

Zolpidem tartrate : IVADAL, STILNOX

Zopiclone : ZOPICLONE, IMOVANE


Signez la pétition



COMMENT EMPECHER VOTRE DOCTEUR DE VOUS TUER ?

« La personne qui a le plus de chances de vous tuer n'est ni un parent ou un ami, ni un agresseur ou un cambrioleur, ni un conducteur ivre. La personne qui risque très probablement de vous tuer est votre docteur. Ce livre vous expliquera comment affronter ce problème et vous protéger contre cette menace sérieuse à la vie et à la santé. » Dr Vernon Coleman

http://www.vernoncoleman.com/main.htm (en anglais)


DANGER

Prescrites sur le long terme,

les benzodiazépines créent une grave dépendance

Elles sont commercialisées sous les noms suivants :

Havlane®, Seresta®, Tranxène®, Lysanxia®, Mogadon®, Nordaz® Valium®, Temesta®, Lexomil®, Urbanyl®, Veratran®, Xanax®, Noctamide®, Normison®, Nuctalon®, Rohypnol®, Halcion®, Rivotril®, Victan®, Imovane®, Stilnox®

et d’autres encore

En 1999, le professeur de psychopharmacologie Malcolm Lader déclarait : « Il est plus difficile de sevrer des personnes des benzodiazépines que de l’héroïne. »

N’arrêtez jamais la prise de benzodiazépine soudainement. Le sevrage brusque, en particulier à partir de fortes doses, est extrêmement dangereux et peut entraîner des crises et des effets secondaires néfastes à long terme.

Méthode de sevrage proposée par le Pr Ashton :

http:/www.benzo.org.uk/freman/bzcha01.htm#3

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